SORTIR DE SA PRISON DOREE
et OSER accĂ©der Ă l’illimitĂ©
Petit.e, nous nous sommes construites.s par imitation et en rĂ©sonnance avec les mĂ©moires de nos parents, les mĂ©moires transgĂ©nĂ©rationnelles et les mĂ©moires d’autres vies…
Puis, nous avons dĂ» faire face Ă des blessures, des conditionnements, alors des contractions ont commencĂ© Ă s’engrammer dans nos tissus.
Petit Ă petit, nous avons oubliĂ© nos Ă©lans de vie et avons commencĂ© Ă construire des remparts, et une forteresse. Nous nous sommes enfermĂ©es.s dans des histoires pour faire face à « l’insupportable », ou simplement Ă des Ă©vĂ©nements qui nous frustraient ou nous contrariaient.
C’est alors que notre personnalitĂ© s’est Ă©rigĂ©e au dĂ©triment de notre ĂTRE.
Entre nos 7 et 12 ans, nous avons fini par nous couper de notre Nature profonde. Quelque chose en nous a dĂ©missionnĂ©, s’est coupĂ© de son Ă©lan vital pour remettre les rĂȘnes de notre vie Ă notre « petit moi » qui ne recherche que la sĂ©curitĂ© Ă l’extĂ©rieur de soi. Nous nous sommes laissĂ©.e enfermer dans une « prison dorĂ©e » en nous identifiant Ă toutes les histoires que nous nous racontions, et que nous continuons Ă valider Ă l’Ăąge adulte.
Depuis, chaque jour nous expĂ©rimentons une forme de chaos : la sĂ©paration, l’insatisfaction et la souffrance.
Et nous avons soif d’un dĂ©sir d’autre chose que ce que nous vivons… qui nous maintient soit dans le passĂ©, soit dans l’avenir !
Comment sais-tu si tu vas bien ou pas ? T’es-tu dĂ©jĂ rĂ©ellement posĂ© cette question ?
Nos sensations corporelles nous parlent… mais notre tĂȘte, occupĂ©e Ă 1000 et 1 histoires, n’y porte pas attention. Alors, que nos crispations ou dilatations (un excĂšs de…) nous parlent de notre bien-ĂȘtre ou de notre mal-ĂȘtre.
đĄ Pour expĂ©rimenter cela, je te propose de vivre une expĂ©rience.
Qu'est-ce qui me parle de mon bien-ĂȘtre ou de mon mal-ĂȘtre ?
Le cerveau ne faisant pas la différence entre des souvenirs passés et la réalité, il est possible, dans le ici et maintenant de revivre ces expériences avec les sensations, les émotions et les pensées associées !
Qu’as-tu ressenti ?
as-tu perçu que l’espace disponible en toi te renseigne sur ton Ă©tat d’ĂȘtre, bien-ĂȘtre ou ton mal-ĂȘtre ?
En effet, notre Ă©tat entre en rĂ©sonance avec cet espace disponible entre nos molĂ©cules d’eau :
                    ⥠Lorsque nous nous sentons tendu.e, dispersĂ©.e, frustrĂ©.e, impuissant.e, en colĂšre, triste… l’espace entre nos molĂ©cules d’eau se rĂ©duit.
Et, nous ne pouvons qu’absorber encore et encore les mĂȘmes informations… de souffrance, de mal-ĂȘtre, de doute, de peur… avec des sensations, des Ă©motions, des pensĂ©es associĂ©es qui entraĂźnent une modification du rythme de notre respiration, des tensions ; et de la colĂšre, de la tristesse ou autres Ă©motions et des pensĂ©es mal aimables… « Je suis nulle.e » ; « J’aurai dĂ»… » ; « Je suis incapable… » ; « il faut ĂȘtre fort.e », etc…
                    âŻïž Mais, quand l’espace entre nos molĂ©cules d’eau devient plus spacieux…
alors, DANS L’INSTANT, c’est plus doux, plus accueillant, plus paisible… alors, alors… ces espaces peuvent tĂ©lĂ©charger et absorber de nouvelles informations… qui ne rĂ©sonnent plus en lien avec les mĂ©moires du passĂ©… dans la rĂ©pĂ©tition des vieux schĂ©mas du passĂ© !Â
Alors, sans ces sensations, que saurai-tu de ton mal ĂȘtre ou de ton bien ĂȘtre ?
L’eau est indispensable Ă la Vie, mais pas uniquement parce que nous la buvons, mais aussi parce que nous sommes l’EAU.Â
Notre corps est constituĂ© en majoritĂ© d’eau. Dans sa masse corporelle : plus de 70% d’eau et chacune de nos molĂ©cules contient 99% d’eau.
Au-delĂ de ses propriĂ©tĂ©s physiques, l’eau joue Ă©galement un rĂŽle qui est celui de capter de l’information au niveau de notre environnement et au niveau du champ informationnel ; mais aussi de la transporter au sein de notre organisme pour lui permettre de rĂ©Ă©quilibrer nos diffĂ©rents organes et de se rĂ©gĂ©nĂ©rer. Elle a Ă©galement ce rĂŽle de rĂ©Ă©mettre de l’information au niveau de notre environnement.
Depuis plusieurs annĂ©es, de nombreux chercheurs et observateurs sâĂ©merveillent et sâintĂ©ressent Ă lâeau, Ă ses propriĂ©tĂ©s physiques, mais surtout Ă ses propriĂ©tĂ©s Ă©nergĂ©tiques : Jacques Benveniste-Luc Montagnier-Emoto Masaru-Gerald Pollack-LoĂŻc Sallet-etcâŠ
De par ses propriétés, et les études réalisées, on sait aussi que tous les fluides de notre corps entrent en résonance avec les mots, les pensées, les émotions, les sensations, les croyances, les certitudes, les événements vécus⊠qui renforcent nos mémoires engrammées dans toutes nos cellules.
Et toutes ces mĂ©moires se manifestent Ă notre conscience au travers de mouvements trĂšs subtils et perceptibles…Â
Si nous sommes disponibles Ă ce qui se vit dans lâinstant, nous pouvons poser notre attention Ă chaque instant sur les diffĂ©rents mouvements qui nous agissent : des crispations ou des dilatations vĂ©cues dans nos tissus liquidiens.
      đš Une crispation peut ĂȘtre ressentie comme un pincement au niveau du cĆur, du ventre, du plexus… des tensions au niveau des Ă©paules⊠quelque chose se crispe, se ferme, se contracte.
      đ« Une dilatation peut ĂȘtre ressentie au travers dâun comportement excessif, d’une joie excessive.
Que faisons-nous de ces sensations, perceptions ?
On croit que nos pensĂ©es, nos Ă©motions sont Ă lâorigine de tout. Mais, elles reprĂ©sentent des symptĂŽmes de quelque chose de dĂ©jĂ prĂ©sent en nous… et qui se manifeste au travers de ces perceptions.
Savons-nous les Ă©couter ?
peu… car on vit alors en permanence dans des IDEES teintĂ©es d’injonctions… « Je dois rĂ©ussir », « Je ne dois pas me comporter ainsi », « … » qui sont souvent conformes Ă un modĂšle de pensĂ©e appris, transmis et non remis en question…
Depuis des lustres, le paradigme vĂ©hiculĂ© dans notre sociĂ©tĂ© sâappuie sur une pensĂ©e matĂ©rialiste qui a mis sur un piĂ©destal un mental Ă©gotique qui a fini par nous enfermer dans des valeurs masculines souffrantes : lâaccumulation, la compĂ©tition, le fait de rĂ©ussir, dâavoir des objectifs, des rĂ©sultats… de dĂ©sirer autre chose que ce qui EST !
et petit à petit nous nous sommes laissées.s enfermer dans un modÚle de survie qui nous a éloigné du VIVANT.
Aujourd’hui, les physiciens quantiques nous dĂ©montrent que tout ce que lâont perçoit est de lâINFORMATION (Ă©motions-Ă©vĂ©nements-situationsâŠ)… ce sont des informations qui entrent dans notre champ de conscience. Cette information reprĂ©sente 99,999% de la rĂ©alitĂ©. Mais, la plupart du temps, nous restons enfermĂ©es.s dans les 0,00001% de la rĂ©alitĂ© : la matiĂšre ; avec des certitudes qui s’Ă©rigent au travers de principes et nous voulons voir pour y croire, nous voulons des preuves concrĂštes…
Nous nous accrochons coĂ»te que coĂ»te Ă nos habitudes (de pensĂ©e, de comportement, de langage…) qui ont finies par nous enfermer dans une zone de confort… pas forcĂ©ment confortable !!
Nous avons constamment des dĂ©sirs dâautres choses que ce qui EST que ce qui s’invite dans l’instant !
Et tant que lâon cherche autre chose, Ă sâaccrocher Ă cette information, Ă vouloir la maĂźtriser, la contrĂŽler,… on reste enfermĂ© dans toutes ces histoires fabriquĂ©es que lâon se raconte et on VEUTâŠ.
On vit alors au travers de la mĂ©moire de nos liquides qui nous maintiennent enfermĂ©s dans des schĂ©mas de souffrance avec son lot d’injonctions qui nous coupent de la Vie. Nous vivons dans un voile d’illusions jamais remis en question.
Ouvrir des espaces en soi et s’ouvrir Ă l’illimitĂ©
Â
La CLĂ© : La PRĂ©SENCE
La VIE nous invite Ă accueillir ce qui est PRĂSENT ; Ă vivre l’instant qui EST.
A chaque instant, plutĂŽt que de lutter contre ce qui EST, et vouloir autre chose… l’invitation est de plonger au cĆur de l’expĂ©rience, accueillir ce qui est. Puis, de laisser remonter les informations prĂ©sentes sans pour autant s’identifier aux sensations, Ă©motions et pensĂ©es associĂ©es.Â
Revenir Ă l’instant et ĂȘtre attentive.f Ă ce sur quoi je focalise mon attention. Ătre Ă l’Ă©coute de l’histoire qui se raconte, car tout ce Ă quoi on croit se manifeste. Face Ă cette histoire prĂ©sente, quelles sont alors mes certitudes, mes principes de vie, mes habitudes ?Â
GoĂ»ter l’instant
Ce qui se manifeste dans notre champ de conscience entre en rĂ©sonnance avec nos molĂ©cules dâeau, avec les mĂ©moires engrammĂ©es dans nos fluides. Et dans sa bienveillance, la VIE nous invite Ă accueillir celaâŠ
Alors que nous⊠nous cherchons sans cesse Ă interprĂ©ter, analyser, comprendre, catĂ©goriser, Ă©tiqueter⊠à VOULOIR des rĂ©ponses, des solutions⊠à sâidentifier Ă ce qui se vit et Ă personnaliser lâexpĂ©rience.
Et, nous ne voyons plus que ce comportement qui active le mental infĂ©rieur, nous maintient sans cesse dans le connu⊠Et tant que nous restons dans le connu, nous rĂ©pĂ©tons sans cesse encore et toujours les mĂȘmes schĂ©mas⊠et nous vivons en mode pilotage automatique !
Au lieu dâoser sâouvrir Ă lâinconnu, oser mettre un genou Ă terre, oser capituler (qui nâest pas dĂ©missionner) et avancer pas Ă pas sur ce chemin avec humilitĂ© et courage.
Oser Voir qu’au-delĂ de tout ce Ă quoi nous croyons… nos difficultĂ©s sont lĂ pour rĂ©vĂ©ler quelque chose qui demande Ă ĂȘtre mis en lumiĂšre et transformĂ©.
La clĂ© : des rituels quotidiens đȘ
â Se charger de la lumiĂšre du soleil : tout comme les plantes, la lumiĂšre est indispensable Ă notre Vie et Ă toute vie
L’EAU est capable de capter des informations et de les retransmettre. Tant que l’espace entre nos molĂ©cules d’eau est Ă©troit, nos liquides ne font que tĂ©lĂ©charger les mĂȘmes histoires qui se racontent inlassablement, nous maintenant dans la rĂ©pĂ©tition des vieux schĂ©mas du passĂ©.
Alors, que quand cet espace s’ouvre, nos liquides peuvent tĂ©lĂ©charger et absorber de nouvelles informations, celles du champ informationnel. Des informations sans avis, sans opinions, sans attentes ni jugements.
La lumiĂšre du soleil est constituĂ©e de photons qui se structurent au travers de frĂ©quences d’onde contenant de l’information. Se mettre dans la lumiĂšre chaque jour et le faire en conscience, permet Ă notre corps et Ă nos molĂ©cules d’eau de se dĂ©tendre, de s’expanser et d’absorber de nouvelles informations…Â
La lumiĂšre du soleil est donc absorbĂ©e dans l’espace entre les molĂ©cules d’eau. Un message Ă©lectrique va alors ĂȘtre envoyĂ© au niveau de nos diffĂ©rents cerveaux (la tĂȘte, le ventre), Ă partir des nerfs vagues dont le rĂŽle est de faire circuler l’information. Une sensation est alors perçue 1/2 secondes avant notre corps Ă©motionnel et avant notre corps mental… L’on croit que nous sommes gouvernĂ©.es par nos pensĂ©es, alors que c’est notre corps qui pilote notre tĂȘte…
« Le seul langage partagĂ© par tous est celui des molĂ©cules d’eau il parle l’amour ou la haine » Enseignement de l’eau
đ§đŒââïž La pratique du PEACE (Processus Empathique dâAbandon Corporel et Emotionnel) est un processus qui permet de dĂ©figer le corps de situations ressenties et vĂ©cues comme mal aimables et non remises en question.
Il permet de dĂ©programmer des mĂ©moires issues de situations non vĂ©cues dans lâamour, sortir de nos pensĂ©es duelles (bien/mauvais, moche/beau, jâaime/je nâaime pas), pour ouvrir le coeur, et retrouver lâespace de silence originel et dâamour inconditionnel.
Cette pratique agit dans le corps pour dĂ©figer des expĂ©riences difficiles et nous permettre de rĂ©agir diffĂ©remment… non en rĂ©action, mais Ă partir de nouvelles informations.
Elle accompagne la libĂ©ration des fascias (ces membranes prĂ©sentes partout dans notre corps) permettant de remettre peu Ă peu ces tissus en mouvement. Lâeau y circule, Ă nouveau, le tissu nerveux est mobilisĂ© crĂ©ant des phĂ©nomĂšnes de libĂ©ration corporelle comme des tremblements, picotements, frĂ©missements, engourdissements, chaleur, froideurâŠ.
Lâinformation circule Ă nouveau, ce qui est trĂšs positif, ET les dĂ©chets aussi. LâĂ©limination des dĂ©chets est une condition essentielle au bon
fonctionnement du corps humain et au maintien de la santé.
Cette pratique permet de revenir Ă un Ă©tat d’ouverture Ă ce qui EST, avant les Ă©tiquettes, les personnalisations, les identifications.Â
Revenir Ă ce moment originel oĂč l’on ne sait rien, oĂč lâon acceptait dâavancer dans le noir sans repĂšre, sans certitude.
Ce protocole neuro-quantique PEACE ouvre le cĆur, libĂšre les mĂ©moires figĂ©es dans le corps et dĂ©charge l’Ă©nergie nerveuse bloquĂ©e dans son point d’origine, lĂ oĂč la blessure sensori-Ă©motionnelle a Ă©tĂ© mĂ©morisĂ©e.
Pratique crĂ©Ă©e par StĂ©phane DrouetÂ
đ§đŸââïž La pratique du YO PEACE
Toutes nos contractions, dont nos blessures, nos envies d’autres choses, nos peurs, nos refus… se sont cristallisĂ©s dans notre corps dans une certaine orientation donnant une forme particuliĂšre Ă nos tissus et nos molĂ©cules d’eau.
De plus, tu peux peut-ĂȘtre dĂ©jĂ avoir ressenti cet Ă©lan d’avancer dans ta vie… et en mĂȘme temps, une difficultĂ© Ă passer Ă l’action avec un certain immobilisme !
Comprendre le fonctionnement de notre corps permet de mettre en lumiÚre des mécanismes, qui amÚne à mettre en place des pratiques particuliÚres pour défiger ces espaces, dont le YO PEACE.
Notre corps est traversĂ© par un tas d’informations et ces informations sont traitĂ©es par les nerfs vagues dont le rĂŽle est faire circuler l’information de maniĂšre harmonieuse.
     âŁïž Quand un danger est prĂ©sent, le nerf vague dorsal se fige. Ce nerf permet de prĂ©parer le corps au danger en adoptant une posture de protection. C’est un frein qui est tournĂ© et qui nous relie au passĂ©.Â
Mais, quand dans notre enfance, nous avons vĂ©cu dans un climat d’insĂ©curitĂ© au niveau affectif, matĂ©riel certains de nos Ă©lans de vie ont Ă©tĂ© coupĂ©s, entraĂźnant au fil du temps, des figements au niveau de nos tissus.
Ainsi, depuis que nous sommes petites.s, nous avons appris Ă figer. Au dĂ©but, les tissus Ă©tant plastiques, ils retrouvaient leur souplesse, mais Ă force de vivre les mĂȘmes scĂšnes et les mĂȘmes blessures (abandon, rejet, humiliation, injustice, trahison), ces mĂ©moires se sont cristallisĂ©es dans notre corps. Au lieu d’ĂȘtre en mouvement dans les tissus, les molĂ©cules d’eau se sont cristallisĂ©es et figĂ©es dans une orientation et elles ne sont plus capables de tĂ©lĂ©charger de nouvelles informations !Â
     đ Le nerf vague ventral est plus rĂ©cent et est en lien avec le systĂšme nerveux des mammifĂšres. Ce nerf vague est associĂ© au sentiment de sĂ©curitĂ©, Ă la Foi, la confiance en la vie, avec la capacitĂ© de s’abandonner Ă la vie. Il est tournĂ© vers l’avenir.
Plus on dĂ©veloppe ce nerf vague, plus on s’ouvre Ă l’illimitĂ© en amenant de la dĂ©tente au niveau des cellules de la peau, avec par exemple, un visage plus lumineux, plus ouvert.
Mais si le nerf vague dorsal est continuellement branché sur le passé, il maintient nos tissus dans la peur ; ce qui peut créer des inflammations, qui sont le signe de conflits intérieurs.
Avec des pratiques, telles que le PEACE, le Yo Peace, la respiration, le nerf vague dorsal dĂ©fige l’Ă©nergie bloquĂ©e dans les tissus, et le nerf vague ventral retrouve son potentiel et envoie lâinformation au coeur. Les deux nerfs vagues cohabitent alors ensemble.
L’accĂšs Ă l’illimitĂ©, Ă l’abandon, Ă l’instant passe par cette cohabitation entre ces deux systĂšmes nerveux. Quand le nerf vague ventral est bien dĂ©veloppĂ©, densifiĂ©, une ouverture Ă la vie se manifeste de maniĂšre plus harmonieuse.
Â
Tout dans le VIVANT nous invite :
Ă ACCUEILLIR CE QUI EST
puis Ă DIGĂRER
et Ă TRANSFORMER
en Ă©tant Ă lâĂ©coute
et en osant descendre dans cette profondeur qui est la Présence à SOI
pour accueillir le vivant Ă partir de cet espace de silence
âš La VIE nous invite Ă VIVRE
La VIE nous invite Ă danser le mouvement du vivant, Ă partir de cet espace de silence, dâamour, de paix qui est en rĂ©alitĂ© notre VRAIE NATURE.
La VIE nous invite Ă nous abandonner Ă son Grand MystĂšre et Ă lâinconnu. A nous re-connecter Ă lâĂąme de notre petit enfant qui vivait dans la magie de lâinstant.
La VIE nous susurre que nous ne sommes pas aux commandes de notre vie, que le Je personnelâŠle Moi blessĂ© nâest pas aux commandes.
La VIE nous susurre de laisser la VIE aux commandes et de danser, ne plus combattre, ne plus résister à ce qui EST.
La VIE nous invite Ă laisser les valeurs fĂ©minines se dĂ©ployer : lâabandon – lâaccueil – la prĂ©sence – lâintuition – lâouverture du cĆur – lâĂ©couteâŠ
âŻïžÂ
Et alorsâŠ
Alors, le masculin rĂ©parĂ© pourra se remettre au service du fĂ©minin dans un Ă©quilibre sensible entre nos 2 polaritĂ©s : fĂ©minine & masculine. Â
La VIE nous invite Ă ĂȘtre attentive.f Ă lĂ oĂč se porte notre regard
LĂ oĂč se porte notre attention
Et au-delĂ de notre petit personnage qui VEUT⊠sâouvrir Ă ĂTRE
ETRE nâa pas de qualificatif et ne dĂ©pend pas de MAL ou de BIEN pour exister. Il est sa propre Ă©ternitĂ©
VOIR que ces mouvements de peur, de rejet⊠portent en eux un élan de vie qui porte son impatience et son urgence
VOIR que notre « problĂšme » vient de lâoubli de cet Ă©lan de vie en nous. Et, nous nâavons pas forcĂ©ment besoin dâavoir des problĂšmes pour le contacter
VOIR que le problĂšme est notre seule solution viable, câest ce qui entre dans notre champ de conscience : une information ; et que ce qui a crĂ©Ă© notre problĂšme est ce qui va le rĂ©soudre
Quâest-ce qui a crĂ©Ă© notre problĂšme ? Notre histoire ?
Quâest-ce qui a crĂ©Ă© notre histoire ? etc. jusquâĂ saisir lâorigine de tout…
Il nây a personne pour souffrir, rien pour souffrir ; rien pour dĂ©sirer autre chose que ce qui EST
Il y a juste des informations libres dâĂȘtre⊠sans attache
Et lâinvitation est juste de sây abandonner, juste de se laisser traverser ; avec un grand OUI đ
La VIE est Ă lâimage de ce disque, de ce cercle⊠de cet anneau de Vie.
sans dĂ©but, sans finâŠ
sans problĂšme, sans solutionâŠ
sans désir
et les informations sont Ă lâimage de ce nuage⊠elles entrent dans notre champ de conscienceâŠ
soit nous nous accrochons, et alors, elles prennent toute la place et nous maintiennent dans un aveuglément, une souffrance
soit nous sommes disponibles à ce qui est et nous nous laissons traverser par la Vie avec humilité, et en avançant dans le noir, sans repÚre, sans GPS, pour guider le personnage, mais avec FOI
Jâaccepte de marcher dans le noir en lĂąchant TOUT
la FOI nâest pas un Ă©tat, câest ĂTRE sans phare, sans repĂšre pour guider le personnage
La FOI sâabandonne chaque instant Ă ce que la VIE propose
Chaque seconde accepter et accueillir le déséquilibre permanent de la vie
son mouvement & son immobilité
La FOI invite Ă ne plus vivre Ă partir de nos molĂ©cules dâeau et de leur mĂ©moire
La FOI est sans centre, sans direction
La FOI nâest pas de croire, elle est insaisissable
Sâabandonner, capituler câest mourir Ă soi-mĂȘme
Mourir Ă soi-mĂȘme câest quitter le personnage tant aimĂ© de souffrance
Câest ĂTRE
ĂTRE est la FOI
ĂTRE est LIBRE
ĂTRE est TOUT
ĂTRE est ton voyage   ĂTRE est ton chemin
ĂTRE est VIVANT
ĂTRE est son ETERNITE